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Pfizer teste un vaccin contre le Covid-19 chez les jeunes enfants

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Pfizer espère que son vaccin contre le coronavirus sera disponible pour les enfants dès le début de l'année prochaine (Archives © KEYSTONE/AP/Jung Yeon-je)

Le groupe pharmaceutique américain Pfizer a annoncé jeudi avoir commencé les essais cliniques de son vaccin contre le Covid-19 chez les enfants âgés de moins de 11 ans. Il espère qu'il soit disponible au début 2022.

"Nous avons administré les premières doses chez des enfants [...] afin d'évaluer la sûreté, la façon dont il est toléré, et l'immunogénicité du vaccin [...] pour prévenir le Covid-19 chez les enfants de 6 mois à 11 ans", a confirmé l'entreprise dans une déclaration. L'immunogénicité est la capacité à déclencher une réaction immunitaire.

Trois dosages différents seront étudiés dans un premier temps, selon les détails de l'essai clinique publiés en ligne. "Nous espérons que le vaccin pourra être disponible pour ces enfants les plus jeunes d'ici au début 2022", a ajouté Pfizer.

Le vaccin de Pfizer/BioNTech est actuellement administré aux personnes de 16 ans et plus, dans les pays où il est autorisé, notamment en Suisse. Il est également en cours d'étude chez plus de 2200 enfants âgés de 12 à 15 ans, des essais dont Pfizer espère partager les résultats "bientôt", a ajouté l'entreprise.

Moderna fait aussi des tests

La semaine dernière, la société de biotechnologie américaine Moderna avait, elle aussi, annoncé avoir commencé des essais de son propre vaccin contre le Covid-19 sur des milliers d'enfants âgés de 6 mois à 11 ans.

Les enfants sont moins exposés aux cas graves de la maladie, tout en la transmettant moins pour les plus jeunes d'entre eux (moins de 10 ans). Leur vaccination n'a ainsi pas été une priorité pour le moment.

Mais une petite partie peut malgré tout tomber gravement malade ou développer ce que les chercheurs ont appelé le syndrome inflammatoire multisystémique de l'enfant. Plusieurs centaines sont décédées du Covid-19.

De plus, les enfants représentent une part importante de la population, qu'il faudra vraisemblablement aussi vacciner pour pouvoir atteindre l'immunité collective, estiment les experts. Les moins de 18 ans représentent par exemple environ un cinquième de la population américaine.

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Hong Kong supprime l'obligation de porter le masque

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Le port du masque avait été imposé il y a trois ans à Hong Kong, et a été maintenu près de 1000 jours. (© KEYSTONE/AP/Andy Wong)

Hong Kong a annoncé mardi la fin du port obligatoire du masque en extérieur comme en intérieur contre le coronavirus. Il s'agit de l'ultime restriction sanitaire imposée pendant la pandémie.

La métropole chinoise était l'un des derniers endroits au monde à exiger le port du masque dans la quasi-totalité des lieux publics, pour tout individu âgé de plus de 2 ans, sous peine d'une amende de 10'000 dollars hongkongais (près de 1200 francs).

"J'annonce que l'obligation du masque sera complètement supprimée à partir de demain 1er mars, y compris à l'intérieur, à l'extérieur et dans les transports en commun publics", a déclaré le chef de l'exécutif hongkongais John Lee. Il a ajouté que les hôpitaux et les maisons de retraite pourraient mettre en place leurs propres restrictions, lors d'un bref point presse mardi.

Le port du masque avait été imposé il y a trois ans à Hong Kong, et a été maintenu près de 1000 jours. La levée de cette ultime restriction à Hong Kong intervient après une décision identique lundi dans le territoire chinois voisin de Macao, qui maintient le port du masque seulement dans les zones à risques comme les hôpitaux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Omicron est plus mortel que la grippe, selon une nouvelle étude

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Pendant les 30 premiers jours d'hospitalisation, la mortalité était environ une fois et demie plus élevée chez les personnes atteintes par le variant Omicron que chez celles touchées par la grippe saisonnière (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le variant Omicron du coronavirus présente une mortalité significativement plus élevée que la grippe saisonnière chez les personnes hospitalisées. C'est le résultat d'une étude représentative menée par l'Université de Lucerne.

Pendant les 30 premiers jours d'hospitalisation, la mortalité était environ une fois et demie plus élevée chez les personnes atteintes par le variant Omicron, a indiqué jeudi la haute école. Et ce, malgré des évolutions généralement plus bénignes par rapport au variant Delta auparavant dominant, une immunité croissante dans la population et de meilleures stratégies thérapeutiques.

En ce qui concerne la nécessité d'une admission aux soins intensifs, aucune différence n'a été constatée. En revanche, la probabilité de décès à l'hôpital avant même l'admission aux soins intensifs était deux à trois fois plus élevée pour Omicron que pour la grippe.

Selon l'étude, cela concernait en particulier les personnes âgées, et celles atteintes de démence. "La question de savoir pourquoi ces patients gravement malades n'ont pas été admis aux soins intensifs devrait faire l'objet d'une étude plus approfondie", écrivent les auteurs de l'étude publiée mercredi dans la revue spécialisée Jama Network Open.

Des données de quinze hôpitaux

Pour comparer l'évolution de la maladie chez les personnes hospitalisées, les données de 3066 personnes atteintes du variant Omicron ont été comparées à celles de 2146 personnes atteintes de la grippe et hospitalisées dans quinze hôpitaux en Suisse.

Les données des personnes positives au Covid-19 ont été collectées entre le 15 janvier et le 15 mars 2022, période durant laquelle le variant Omicron était prédominant avec plus de 95% des cas. Les données relatives aux personnes atteintes de la grippe proviennent des saisons grippales 2018/2019, 2020/2021 et 2021/2022.

Pendant la propagation du variant Omicron, des voix s'étaient élevées en Suisse pour demander que la maladie soit traitée comme une grippe normale. On disait alors qu'une infection par Omicron provoquait des évolutions moins graves que par les autres variants.

https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2801464

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Fin du port du masque obligatoire à l'Hôpital fribourgeois

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En raison de la baisse des cas de Covid-19, l'obligation du port du masque sera levée dès mercredi à l'Hôpital fribourgeois (photo prétexte). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Après le Réseau hospitalier neuchâtelois la semaine dernière, c'est au tour de l'Hôpital fribourgeois (HFR) de lever l'obligation du port du masque pour le personnel ainsi que pour les visiteurs dans les chambres des patients. Cette mesure, liée à la baisse des cas de Covid-19, entre en vigueur mercredi.

Le nombre de personnes hospitalisées pour Covid-19 a constamment diminué. Lundi, cela concernait 13 personnes, dont cinq à l'isolement, relève l'HFR. Au vu de cette situation épidémiologique favorable, tant concernant le Covid-19 que la grippe saisonnière, il a été décidé de lever l'obligation du port du masque.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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